L’Assemblée nationale du Mali a approuvé à l’unanimité un plan permettant au chef militaire de diriger le pays jusqu’à cinq ans.
Le gouvernement intérimaire du Mali a désormais le pouvoir de diriger la nation ouest-africaine pour les cinq prochaines années et aucune date n’a encore été fixée pour les futurs scrutins.
Les élections prévues en février ont été annulées par les chefs militaires du Mali, provoquant des sanctions économiques par la CEDEAO et l’Union européenne.
Le Mali engage actuellement une action en justice pour lever les sanctions imposées par l’union monétaire ouest-africaine, l’Uemoa, alors qu’il lutte contre une crise de la dette.